15/10/2024

Le Regard

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RDC: Guy Loando au cœur de la vie sociale, économique et politique de la population de Boende

Au Nord de l’ex-Zaïre, dans le grand Equateur où des grandes familles telles que les Mobutu, les Kengo, les Bemba, les Boboliko, les Baramoto,… ont fait la pluie et le beau temps, et certains font encore la fierté de l’ancienne province, le nom «Loando» était encore inconnu il y a quelques années.

Issu d’une famille modeste, des parents enseignants, ce jeune avocat d’affaires sorti droit de la colline inspirée de l’Université de Kinshasa, est devenu philanthrope, sénateur, puis Ministre d’Etat à l’Aménagement du territoire.

Cet enfant qui courait partout dans les ruelles de Bokungu Ikela dans l’actuel Tshuapa, la tête pleine de rêves, a, comme qui dirait, réussi à changer son étoile et mettre le nom de son père sur un piédestal. Ce, particulièrement grâce à son engagement pour autrui et pour l’intérêt général.

Guy Loando fait sa part. Il contribue énormément à faciliter la vie de la population. L’exemple de Boende est éloquent. Sur cette terre couleur du feu, il est au cœur de la vie, non parce qu’il a construit le beau bâtiment de l’Assemblée provinciale, mais parce qu’il en fait davantage.

Tiens… Il a racheté le terrain auprès d’un ancien proche du Maréchal Mobutu, Engulu, et construit le marché municipal de Boende où trône à l’entrée l’effigie du Président Tshisekedi. Il a construit la seule boulangerie de la ville «Lipa Ya Motema» qui livre les pains à domicile. Plus encore, il a construit un grand shop «Widal Investment». On y trouve de tout. Des produits alimentaires manufacturés aux matériels de construction. Le prix du sac de ciment venant de Kinshasa qui vacillait entre 15 et 19 USD à Boende, s’y vend à 8 USD en prix de gros et 10 USD à l’unité.

Tiens… tiens… Guy Loando construit en plein Boende un stade moderne appelé Stade Ruphin Bolafa, du nom d’un jeune joueur décédé en plein match de foot en 2003, la veille de son obtention du diplôme d’Etat. Cette initiative permet de donner une chance au développement du sport dans la province. Grâce à lui, des jeunes talentueux auront l’occasion de s’épanouir pour le grand bien de la RDC.

Trouvé au milieu du terrain, Nkosi Chopin, ingénieur spécialiste en construction des gazons synthétiques rassure que les travaux vont bon train. «Avec 45 jours, nous pourront avoir une plateforme synthétique», dit-il. Cet ingénieur qui a à son actif les gazons des stades des Martyrs et Tata Raphaël de Kinshasa, ou encore Victoire de Lupopo de Lubumbashi, confie que ce stade sera dans les normes de la FIFA.

 

Plus loin, derrière le guidon de sa moto, Hyacinthe Bakoli, l’air nostalgique, revoit son passé sur ce terrain hier appelé «Hévéa». «Je remercie Guy Loando. Je lance aussi un message au Président de la République: Guy Loando matérialise sa vision dans la Tshuapa et dans le Grand Equateur. Nous vous demandons de continuer de travailler avec lui», lâche-t-il. Il renseigne que Guy Loando entend également construire le parquet général de la Tshuapa, le gouvernorat et 25 Kilomètres de route.

Loando dans l’autonomisation de la fille-mère

Ce n’est pas tout. Guy Loando pense aussi à l’autonomisation de la jeune fille. A travers Widal, il a mis en place un foyer social où jeunes filles, filles-mères et garçons sont formés à la Coupe et couture. La trentaine révolue, Mete Kibala, respnsable du foyer renseigne que 42 filles et 3 garçons y apprennent gratuitement le métier depuis 3 mois. Leur formation arrive à termes. Le but est qu’ils deviennent autonomes et qu’ils contribuent à l’épanouissement de la Tshuapa. A côté, toute fier dans son t-shirt estampillé Widal fondation, drapelet assorti dans les cheveux, Eulalie Bakola s’écrie: «Dans la Tshuapa, personne avant Guy Loando n’a fait ceci. Il nous a offert une formation non seulement gratuite, mais aussi des outils comme les machines à coudre, les ciseaux, les tissus,… gratuitement. Merci papa Loando!!!».

Ce discours, beaucoup à travers le grand Equateur le tiennent car Loando a faits beaucoup des choses pour les populations du coin, voire d’autres provinces du pays. Il y a une année, il mettait en circulation le bateau MB Loando 1 pour relier Kinshasa au Congo profond et ainsi, permettre aux congolais de voyager sur le fleuve en sécurité.

Par ailleurs,  soucieux de l’avenir de son pays, Loando a spécialement investi dans l’éducation en construisant des écoles modernes comme le Perroquet à Mbandaka dans l’actuel Equateur, ou encore en réhabilitant des nombreuses écoles et en prenant en charge des enseignants en difficulté dans différentes villes du grand Equateur dont Gbadolite dans le Nord Ubangi. Loando y a remis le Maréchal Mobutu au cœur de la ville, par un buste dorée tenant fièrement devant la mairie.

Il n’aura pas fallu longtemps à ce jeune léopard pour comprendre qu’en politique, servir le peuple est le meilleur moyen de se servir. En gagnant les cœurs de ce dernier, il s’en est assuré une indéfectible fidélité. Les faits témoignent. Le grand Equateur est désormais la tanière de Guy Loando Mboyo.

René Kanzuku