
Depuis des décennies, la République démocratique du Congo est le théâtre d’un carnage public orchestré par le régime de Kigali. Derrière les discours diplomatiques et les accords de façade, le Rwanda de Paul Kagame mène une guerre de prédation sur le sol congolais, causant des millions de morts et un chaos humanitaire indescriptible.
Le Rwanda, en soutenant des groupes armés comme le M23/AFC, poursuit une logique expansionniste et économique. Sous prétexte de sécurité nationale, Kigali exploite les ressources congolaises par le pillage systématique du coltan, de l’or et des minerais stratégiques, alimentant ainsi son économie au détriment de la stabilité de la RDC.
La complicité de la communauté internationale
Malgré les rapports accablants des Nations unies et des ONG ainsi que la dénonciation du gouvernement congolais, le Rwanda échappe aux sanctions internationales. Son habile jeu diplomatique et ses alliances stratégiques avec certaines puissances occidentales lui assurent une impunité révoltante. Pendant ce temps, les populations congolaises subissent des atrocités : villages brûlés, exécutions sommaires, viols de masse et déplacements forcés.
Ce conflit n’a rien d’un simple différend frontalier. Il s’agit d’une guerre hybride où Kigali instrumentalise des milices pour maintenir une instabilité chronique avec un but d’affaiblir durablement la RDC et s’accaparer ses richesses. Les massacres de Kishishe, de Bunagana et tant d’autres en sont la preuve sanglante.
Il est temps de briser le silence. Les dirigeants africains doivent cesser d’être spectateurs et prendre des mesures concrètes contre l’agression rwandaise. La justice internationale doit enquêter sur ces crimes et sanctionner les responsables. La souveraineté de la RDC n’est pas négociable, et les millions de victimes méritent justice.
Le sang des Congolais n’a que trop coulé. L’histoire jugera sévèrement ceux qui auront détourné le regard. Si la communauté internationale ne dit mot, la voie populaire serait la meilleure option pour en finir avec ce régime sanguinaire de Kigali.
La paix s’impose!
Loin de la haine tribale, moins encore de la xénophobie, mais il s’agit ici de la défense de la patrie.
Tout congolais doit au moins se préparer en conséquence pour affronter l’ennemi, tenant une machette à la main, une arme traditionnelle, une lance, une flèche ou toute autre arme blanche afin d’envahir le territoire rwandais sans passeport ni visa, pour imposer le respect et protéger l’intégrité territoriale de la RDC. Sans cette méthode, le peuple congolais sera esclave des Tutsi rwandais qui tuent sans relâche.
La souveraineté de la RDC n’est pas négociable. La patrie ou la mort !
Blaise-Pascal Bonduku;
Nationaliste résistant, journaliste et spécialiste en communication des organisations
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